Industry Canada: Setting the table for SME success / Établir les conditions pour le succès des PME

In this era of freer trade, reduced tariffs, and lower telecommunications and transportation costs, exporting by SMEs should be easier than ever. However, data shows that only about 10 percent of Canadian SMEs export—a figure that has hardly changed in the past decade. At the same time, while emerging markets represent growth potential for firms, less than 12 percent export to Latin America, China or other Asian markets. This compares to 89 percent of exporting SMEs that sell to the US. So what can be done to increase the number of SMEs that export, and to diversify the markets that exporters sell to?

Canada’s Global Market Action Plan (GMAP) will help. Released in November 2013, it focuses on the markets that hold the greatest promise for Canadian business, and commits diplomatic efforts and other federal resources to help Canadian companies succeed in these markets.

Under existing trade agreements, Canadian SMEs already have access to more than half of the global marketplace. And once the Comprehensive Economic and Trade Agreement is finalized, Canada will be the only major developed country to have preferential access to the world’s two largest markets—the European Union (EU) and the US.

What does it mean for SMEs?

Recognizing the contributions SME to the economy, improving the trade performance of Canadian SMEs through government / private sector collaboration lies at the core of GMAP.  It aims to build on its relationships with existing partners, such as the US and the EU, while accessing emerging markets that hold great potential, including China, India, Brasil and Africa, to name a few. And the goals are ambitious. For example, GMAP aims to grow Canadian SMEs’ export presence in emerging markets from 29 percent to 50 percent by 2018.

To reach these goals, federal support for SMEs that export is being refined. The Honourable Ed Fast, Minister of Trade, along with his SME Advisory Board, have heard from business people from across sectors and regions. And the message has been clear: government needs to be easier to deal with and it needs to do a better job of letting SMEs know about the tools to help them succeed.

For example, government needs to better explain the role of export-oriented organizations to SMEs. They should know that if they are looking for management support to expand into foreign markets—BDC can help them. If they are export ready and need financing, insurance and bonding services—they should speak with EDC. And if they are looking for international connections and on-the-ground market intelligence—the Trade Commissioner Service can help.

The government has instructed these organizations to align their activities, enhance their coordination and share their market intelligence, all with the goal of making it easier for SMEs to do business abroad.

In addition, more than 25 of Canada’s Trade Commissioners are being embedded in business and trade associations across the country. This will offer government insight into the specific exporting needs of a number of sectors and help ensure it is responding to the needs of job creators.

The government has also partnered with Canadian Manufacturers and Exporters to seize the potential of European trade through the Enterprise Canada Network. Created in 2013, this platform for Canadian exporters, technology providers and researchers provides profiles of some 35,000 business opportunities through a partner network in Europe.

Canada has done and will continue to do lots of work to promote Canadian companies and their export capabilities to international markets. But this is only part of the story. The government is committed to working with outstanding Canadian companies to help them connect with the right federal programs and services so they can grow.

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En notre ère de libre-échange, de faibles tarifs douaniers et de frais transport bas, il devrait être plus facile que jamais pour les PME d’exporter leurs produits. Cependant, les données indiquent que seulement environ 10 p. 100 des PME canadiennes exportent leurs produits. Cette proportion a très peu varié au cours de la dernière décennie. De la même manière, même si les marchés émergents représentent un potentiel de croissance pour les entreprises, moins de 12 p. 100 d’entre elles exportent leurs produits vers les marchés de l’Amérique latine, de la Chine ou de l’Asie dans son ensemble. En guise de comparaison, 89 p. 100 des entreprises exportatrices effectuent des ventes aux États-Unis. La question est donc la suivante : Que pouvons-nous faire pour augmenter le nombre de PME qui exportent leurs produits et pour diversifier les marchés visés par les exportateurs?

Le Plan d’action sur les marchés mondiaux (PAMM) du Canada nous aidera à y répondre. Publié en 2013, le PAMM met l’accent sur les marchés les plus prometteurs pour les entreprises canadiennes, et il traite des efforts diplomatiques et des autres ressources fédérales mises à contribution pour aider les entreprises canadiennes à connaître du succès dans ces marchés.

Conformément aux accords commerciaux en vigueur, les PME canadiennes ont déjà accès à plus de la moitié des marchés mondiaux. De plus, lorsque l’Accord économique et commercial global sera parachevé, le Canada sera le seul pays industrialisé de premier plan à jouir d’un accès privilégié aux deux principaux marchés mondiaux : l’Union européenne et les États-Unis.

Qu’est-ce que cela signifie pour les PME?

La reconnaissance de la contribution des PME à l’économie et l’amélioration de la performance commerciale des PME canadiennes grâce à la collaboration du gouvernement et du secteur privé sont au cœur du PAMM. Le PAMM prévoit que l’on mettra à profit nos relations avec nos partenaires existants, comme les États-Unis et l’Union européenne, tout en obtenant l’accès à des marchés émergents recelant d’un grand potentiel, comme la Chine, l’Inde, le Brésil et l’Afrique parmi d’autres. Les objectifs sont ambitieux. Par exemple, le PAMM vise à faire croître la présence des PME canadiennes en matière d’exportation sur les marchés émergents pour faire passer le pourcentage de 29 à 50 p. 100 d’ici 2018.

Pour atteindre ces objectifs, on est à peaufiner le soutien fédéral accordé aux PME exportatrices. L’honorable Ed Fast, ministre du Commerce, et son Conseil consultatif sur les PME ont écouté les gens d’affaires de divers secteurs d’activités et de diverses régions. Leur message était clair : il doit être plus facile de traiter avec le gouvernement et ce dernier doit mieux informer les PME au sujet des outils mis à leur disposition pour les aider à connaître du succès.

Par exemple, le gouvernement doit mieux expliquer le rôle des organisations axées sur l’exportation aux PME. Les PME doivent savoir que si elles ont besoin d’un soutien administratif pour croître dans des marchés étrangers, la BDC peut les aider. Les PME qui sont prêtes à se lancer dans l’exportation et qui ont besoin de services de financement, d’assurances et d’entreposage doivent communiquer avec EDC. De plus, si les PME sont à la recherche de relations internationales et d’information commerciale de terrain, le Service des délégués commerciaux peut les aider.

Le gouvernement a demandé à ces organisations de mettre en adéquation leurs activités, de hausser leur degré de coordination et de mettre en commun leurs informations commerciales pour qu’il soit plus facile pour les PME de faire des affaires à l’étranger.

De surcroît, plus de 25 des délégués commerciaux du Canada sont intégrés à des associations commerciales et d’affaires à l’échelle du pays. Cela permettra au gouvernement d’avoir des renseignements de première main sur les besoins précis en matière d’exportation dans un certain nombre de secteurs et de répondre de manière optimale aux besoins des créateurs d’emplois.

Le gouvernement a aussi établi un partenariat avec Manufacturiers et Exportateurs du Canada pour réaliser le potentiel commercial de l’Europe par le biais du Réseau canadien d’entreprises. Créée en 2013, cette plateforme qui est destinée aux exportateurs, fournisseurs de technologies et chercheurs canadiens contient des renseignements sur plus de 35 000 occasions d’affaires par l’intermédiaire d’un réseau partenaire en Europe.

Le Canada a déployé de nombreux efforts pour promouvoir les entreprises canadiennes et leurs capacités d’exportation vers les marchés internationaux et il continuera de le faire. Mais cela n’est qu’une partie de l’équation. Le gouvernement est résolu à travailler de concert avec les extraordinaires entreprises canadiennes pour les aider à entrer en contact avec les programmes et services fédéraux appropriés pour qu’elles puissent poursuivre leur croissance.